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§ 9. — La Gauche italienne ne veut pas se contenter du retour à la convention de septembre. — Le gouvernement italien l’accepte. — La cour romaine comprend nos impossibilités 
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§ 10. — La négociation personnelle de Victor-Emmanuel avec l’Autriche n’aboutit pas. — Vimercati porte à Metz un projet de traité impliquant notre abandon complet de Rome à l’Italie et n’engageant nullement l’Autriche et l’Italie à nous aider. — Lettre de Beust (29 juillet). — L’Empereur et Gramont repoussent ces deux articles 
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§ 11. — Le roi Victor-Emmanuel se range complètement à la volonté de ses ministres et abandonne tout projet d’alliance 
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§ 12. — Nous n’avions aucune alliance. — Beust nous a leurrés aussi longtemps qu’il l’a pu d’une vaine espérance. — C’est sur cette espérance que l’Empereur a compromis son armée par de détestables mesures stratégiques. — Le prince Napoléon a attribué faussement la perte de l’alliance italienne à notre attachement à Rome. — L’abstention de l’Italie provient uniquement du mauvais vouloir de l’Autriche. — Une des causes de ce mauvais vouloir est la ferme volonté de la Russie d’empêcher l’Autriche de nous aider 
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ÉCLAIRCISSEMENTS
§ 1. — Émile Ollivier au professeur Hans Delbrück de Berlin 
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§ 2. — La légende du mensonge 
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