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§ 5. — Proclamation de l’Empereur aux soldats. — Il est très souffrant. — Il ne peut se décider à une opération d’offensive. — Il se résigne enfin et une attaque sur Sarrebrück est projetée 
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§ 6. — État de découragement et d’insouciance de l’armée. — Ordres et contre-ordres 
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§ 7. — Inertie de l’Empereur causée par sa maladie. — Il continue néanmoins à s’occuper de ce qui se passe à Paris. — Émile Ollivier l’instruit par des rapports. — Il fait rendre au suffrage universel des avocats la nomination du bâtonnier 
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§ 8. — On s’inquiète à Paris de l’immobilité de l’armée. — L’Empereur se décide à contrecœur à l’expédition de Sarrebrück 
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CHAPITRE XI
SARREBRÜCK. — L’INVASION
§ 1. — Les Prussiens sont hors d’état d’agir offensivement jusqu’au 6 août. — Expédition de Sarrebrück. — L’Empereur peut à peine monter à cheval. — Épuisé, il regagne Metz à quatre heures. — Visite de Nélaton. — Nous ne profitons pas de notre petite victoire de Sarrebrück 
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§ 2. — Les Allemands prennent confiance en eux-mêmes. — Si nous avions poursuivi l’offensive, nous aurions pu battre l’armée de Steinmetz et fait reculer la IIe armée. — Conséquences incalculables qu’une première victoire aurait eues pour nous 
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§ 3. — Le Bœuf propose encore de franchir la Sarre. — Avantages de toutes sortes que nous donnait cette opération. — Étonnement des ennemis que nous ne l’ayons pas faite. — L’Empereur est accablé par le refus de concours de l’Autriche. — Désarroi 
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