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XV. Moïse de Kh. III, 39. Malalas, p. 347.
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Phénicie, p. 314 sv.). Malalas nous raconte ailleurs comment cette «merveille du monde» (êéafia, p. 280) fut construite par Ântonin le Pieux et consacrée à Jupiter, et il veut certainement parler du grand temple de Baalbek, et non du petit, dit temple de Jupiter. Il n'y a pas d'apparence que le temple du Soleil ait pu être consacré au Liban, car nous ne trouvons d'autre trace du dieu Liban, ou plutôt d'un Baal du Liban (Ji^7 ^^2), qu'une inscription sur les débris d'un vase de bronze qui date peut- être du IX« siècle avant notre ère (Corpus in- scription um semiticarum. Pars I, Tom. I, p. 22 sv.). Il est possible que la leçon qi^putitmêifÊ repose sur la fausse mterprétation d'une phrase comme celle que nous lisons dans Malalas, p. 280: ëxxioev iv 'HXiovnôXei xrjç ^ivixrjç xov Atpdvov vaov t(p Ad ftéyav. Quant au BoXaviog de la Chronique pas- cale, nous ignorons la provenance de ce mot, qui ne se rencontre pas ailleurs et soulève bien des difficultés. Voir les explications de Renan (Mission de Phénicie, p. 320), de Baudissin (Jahveh et Mo loch, p. 35), etc.
«) Pour rendre plus facile au lecteur la com- paraison des textes, nous avons dû intervertir l'ordre des deux dernières phrases. Chez Malalas, elles se succèdent ainsi: Karélvae — TqiXiûov, puis éftcicoç — XQtoTiavfôv.
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