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À MON CHER Cti


Il ne faut pas que cette Nouvelle paraisse sans que je paie un juste tribut à l’amitié. Aussi est-ce avec un extrême plaisir que je vous offre celle-ci ; il me déplaît seulement de ne pouvoir pas m’acquitter des obligations que je vous ai.

Faites-lui bon acceuil et portez-vous bien.