tiques ; en 1821, j’ai envoyé à la société des sciences de Strasbourg un mémoire sur la valeur de l’aire de l’ellipse, démontrée par les principes de la géométrie élémentaire. Le 1.er Novembre je fus nommé.médecin cantonal de Bouxwiller, et en 1824 je reçus un prix pour le grand nombre de vaccinations que j’avais pratiquées. Lorsqu’en 1826 la variolide régna dans notre département, et le Gouvernement ayant invité les médecins cantonaux à communiquer leurs observations sur cette maladie au jury médical, le mémoire que j’envoyai fut au nombre des six reconnus dignes d’un prix, parmi trente-trois qui avaient été communiqués au jury. La société des sciences, etc., de Strasbourg, ayant proposé un prix pour le mémoire qui répondrait à cette question : Déterminer, par l’expérience et l’observation, les caractères, la marche, les complications et le traitement de la maladie connue sous le nom de mfliaire, le mémoire que j’avais envoyé fut reconnu, des quatre qu’on avait reçus, le meilleur par la commission nommée pour les examiner ; je ne reçus cependant que le tiers du prix, consistant dans une médaille*d’or de la valeur de cent francs, parce que la commission croyait que je n’avais pas répondu d’une manière satisfaisante à toutes les parties de la question. La même société fit, l’année suivante, mention honorable d’un mémoire que j’avais composé sur l’action du mercure dans les maladies inflammatoires. La société de médecine de Paris ayant proposé un prix pour la solution de la question suivante : Quelles sont les maladies que la grossesse fait naître, et quelles sont celles dont elle ne suspend que momentanément la marche ? j’envoyai un mémoire au concours. La société me décerna une médaille d’argent, et j’en fus informé par une lettre très-flatteuse que m’écrivit son secrétaire, M. Macquart. Dans les années suivantes j’ai feit insérer dans les joumaux de Paris diverses observations sur l’aliénation mentale, sur le croup, sur l’amaurose, sur l’empoisonnement par des substances auj-
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