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CEUX QUI ONT ACCUEILLI…


Et c’est votre bonté charitable, ô Douleur,
Votre bonté prudente et qui permet qu’on vive,
D’être parfois dans l’ombre arrêtée et furtive,
De laisser quelque temps s’épanouir le cœur,
De ne pas annoncer que votre règne arrive.
Et de surgir comme un voleur !