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dais les cloches des vaches qui paissaient sur la pelouse. On dînait comme tous les soirs ; il faisait clair encore. J’étais triste, j’avais envie de pleurer. Je n’ai plus voulu aller dans le monde.
17 août.
Julien est venu. Il y a des choses qu’on ne peut pas écrire, mais je sais que le péché terrible, je l’éviterai toujours ; je le devine, il me terrifie, il n’est pas possible, la mort me semble plus aisée…
19 août.
Je prie au pied de votre croix, mon Dieu. Pourquoi ne me protégez-vous pas ;