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Il y a des moments où on veut être seule, où on a un dégoût qui est au-dessous de la mort.

1er novembre.

Je ne veux rien. Je veux du silence et rien. J’aurais envie de dire au bonheur comme au malheur : « Laissez-moi, attendez, ne venez pas encore… »

novembre.

Je ne pouvais plus toujours mentir. Ce matin, comme la mère abbesse faisant un reproche à la sœur Catherine, ajoutait, en me désignant : « Soyez donc comme