Page:Nietzsche - Ainsi parlait Zarathoustra (trad. Albert, 1903).djvu/111

Cette page a été validée par deux contributeurs.




DEUXIÈME PARTIE


« — et ce n’est que quand vous m’aurez tous renié que je reviendrai parmi vous.
En vérité, mes frères, je chercherai alors d’un autre œil mes brebis perdues ; je vous aimerai alors d’un autre amour. »
Zarathoustra,
De la vertu qui donne (I, p. 109)