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DEUXIÈME PARTIE

délicieux vient calmer à l’instant sa douleur et provoquer un long soupir. — Plus ardente, plus empressée, Gamiani jette sa tête à travers les cuisses de sa victime. Ses doigts écartent, violentent deux nymphes délicates. Sa langue plonge dans le calice, et, lentement, elle épuise toutes les voluptés du chatouillement le plus irritant qu’une femme puisse sentir. Attentive aux progrès du délire qu’elle cause, elle s’arrête ou redouble selon que l’excès du plaisir ou s’éloigne ou s’approche. Fanny, nerveusement saisie, part tout à coup d’un élan furieux.

FANNY.

C’est trop ! oh !… je meurs !… heu !…