Page:Mortier - Le Temple sans idoles, 1909.djvu/38

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Mais s’il te plaît de maintenir ta seigneurie
Sur mon esprit dévot de ta pure beauté,
Observe le silence, et ne laisse, apprêté,
Parler que le seul pli né de ta draperie.