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II Tu me la dois enfin, cette faveur, ô Parque Qui filas tous mes maux, De songer à mon gré, balancé dans la barque Sous les feux des Gémeaux. Puisque tu veux qu’ainsi me versent l’amertume Calliope et Péan, Fais que mes yeux lassés soient baignés de l’écume De l’immense Océan ; G

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