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XIV Sur la plaine sans fin, dans la brise et le vent. Se dresse Tarbre solitaire. Pensif, et chaque jour son feuillage mouvant Jette son ombre sur la terre. Les oiseaux dans leur vol viennent poser sur lui Sont-ils corbeaux, ramiers timides ? L’affreux lichen le ronge ; il est le sûr appui Du faible lierre aux nœuds perfides.

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