Famille. Comment chacune doit être gouvernée, I. 59. La loi qui fixe la famille dans une suite de personnes du même sexe, contribue beaucoup à la propagation, III. 68, 69.
Famille. (Noms de) Leur avantage sur les autres noms, III. 69.
Famille régnante. Ce n’est pas pour elle qu’on a établi l’ordre de succession à la couronne ; c’est pour l’état, III. 227, 228.
Familles particulieres. Comparées au clergé : il résulte de cette comparaison, qu’il est nécessaire de mettre des bornes aux acquisitions du clergé, III. 172.
Famines. Sont fréquentes à la Chine ; pourquoi : y causent des révolutions, I. 256, 257.
Fatalité des matérialistes. Absurde : pourquoi, I. 2. Une religion qui admet ce dogme doit être soutenue par des lois civiles très-séveres & très-sévérement exécutées, III. 141, 142.
Fausser la cour de son seigneur. Ce que c’étoit : saint Louis abolit cette procédure dans les tribunaux de ses domaines ; & introduisit dans ceux des seigneurs l’usage de fausser sans se battre, III. 307 & suiv.
Fausser le jugement. Ce que c’étoit, III. 340 & suiv.
Faux-monnoyeurs. Sont-ils coupables de lese-majesté ? I. 396.
Fécondité. Plus constante dans les brutes que dans l’espece humaine : pourquoi, III. 65, 66.
Félonie. Pourquoi l’appel étoit autrefois une branche de ce crime, III. 339.
Femmes. Pourquoi Tibere ne voulut pas défendre à celles des gouverneurs d’aller porter leurs déréglemens dans les provinces, I. 202. Leur fécondité à la Chine doit faire bannir le luxe de cet empire, I. 205 & suiv. Combien elles sont dégradées par la perte de leur vertu, I. 208. Leur condition dans les différens gouvernemens, I. 209 & suiv. Pourquoi elles étoient si sages dans la Grece, I. 210, 211. Etoient comptables à Rome de leur conduite, devant un tribunal domestique, I. 211, 212. Etoient à Rome & chez les Germains dans une tutelle perpétuelle : cet usage fut aboli ; pourquoi : étoient