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DES MATIERES.

Comment les états où il regne pourvoient à leur sureté, I. 265, 266. Les places fortes sont pernicieuses dans les états despotiques, I. 267. Conduite que doit tenir un état despotique avec le peuple vaincu, I. 303 & suiv. Objet général de ce gouvernement, I. 310. Moyen d’y parvenir, I. 314. Il n’y a point d’écrits satiriques dans les états où il regne : pourquoi, I. 404. Des lois civiles qui peuvent y mettre un peu de liberté, I. 427 & suiv. Tributs que le despote doit lever sur les peuples qu’il a rendus esclaves de la glebe, II. 6, 7. Les tributs y doivent être très-légers : les marchands y doivent avoir une sauve-garde personnelle, II. 13, 14. On n’y peut pas augmenter les tributs, II. 18. Nature des présens que le prince y peut faire à ses sujets ; tributs qu’il peut lever, II. 19. Les marchands n’y peuvent pas faire de grosses avances, II. 20. La régie des impôts y rend les peuples plus heureux que dans les états modérés où ils sont affermés, II. 28. Les traitans y peuvent être honorés ; mais ils ne le voient être nulle par ailleurs, II. 29. C’est le gouvernement où l’esclavage civil est le plus tolérable, II. 61, 62. Pourquoi on y a une grande facilité à se vendre, II. 70. Le grand nombre d’esclaves n’y est point dangereux, II. 79, 80. N’avoit lieu en Amérique que dans les climats situés vers la ligne : pourquoi, II. 125. Pourquoi regne dans l’Asie & dans l’Afrique, II. 126 & suiv. On n’y voit point changer les mœurs & les manieres, II. 198, 199. Peut s’allier très-difficilement avec la religion chrétienne : très-bien avec la mahométane, II. 208, 209, III. 127 & suiv. Il n’est pas permis d’y raisonner bien ou mal, II. 235. Ce n’est que dans ce gouvernement que l’on peut forcer les enfans à n’avoir d’autre profession que celle de leur pere, II. 264. Les choses n’y représentent jamais la monnoie qui en devoit être le signe, III. 4, 5. Comment est gêné par le change, III. 42, 43. La dépopulation qu’il cause est très-difficile à réparer, III. 117. S’il est joint à une religion contemplative, tout est perdu, III. 138, 139. Il est difficile d’établir une nouvelle religion dans un grand empire où il regne, III. 190,