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TABLE

y est souvent obligé de donner sa confiance à ceux qui l’ont le plus choqué, & de l’ôter à ceux qui l’ont le mieux servi, II. 221, 222. Pourquoi on y voit tant d’écrits, II. 224. Pourquoi on y fait moins de cas des vertus militaires que des vertus civiles, II. 225,226. Causes de son commerce, de l’économie de ce commerce, de sa jalousie sur les autres nations, II. 226, 227. Comment elle gouverne ses colonies, II. 227, 228. Comment elle gouverne l’Irlande, II. 228. Sources & motifs de ses forces supérieures de mer, de sa fierté, de son influence dans les affaires de l’Europe, de sa probité dans les négociations : pourquoi elle n’a ni places fortes, ni armées de terre, II. 228 & suiv. Pourquoi son roi est presque toujours inquiété au-dedans, & respecté au dehors, II. 229. Pourquoi le roi, y ayant une autorité si bornée, a tout l’appareil & tout l’extérieur d’une puissance absolue, II. 230. Pourquoi il y a tant de sectes de religion : pourquoi ceux qui n’en ont aucune ne veulent pas qu’on les oblige à changer celle qu’ils auroient s’ils en avoient une : pourquoi le catholicisme y est haï : quelles sorte de persécution il y essuie, II. 230 & suiv. Pourquoi les membres du clergé y ont des mœurs plus régulieres qu’ailleurs : pourquoi ils font de meilleurs ouvrages pour prouver la révélation & la providence : pourquoi on aime mieux leur laisser leurs abus, que de souffrir qu’ils deviennent réformateurs, II. 232. Les rangs y sont plus séparés, & les personnes plus confondues qu’ailleurs, II. 232, 233. Le gouvernement y fait plus de cas des personnes utiles, que de celles qui ne font qu’amuser, II. 233. Son luxe est un luxe qui lui est particulier, II. 233, 234. Il y a peu de politesse : pourquoi, II. 234. Pourquoi les femmes y sont timides & vertueuses, & les hommes débauchés, ibid. Pourquoi il y a beaucoup de politiques, II. 235. Son esprit sur le commerce, II. 248. C’est le pays du monde où l’on a mieux su se prévaloir de la religion, du commerce & de la liberté, II. 249. Entraves dans lesquelles elle met ses commerçans : liberté qu’elle donne à son commerce, II. 254. La facilité singuliere du commerce y vient de ce que les douanes y sont en régie, II. 255. Excellence de sa politique tou-