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_xvi I I TOME II- LIVRE II I · . victoire pour les uns, grande défaite pour les autresl Gn I vit désormais les patricieus et les plébéiens, exercer les mêmes droits, actifs et passifs, dans l'élection des ques- teu1·s urbains et de_ceux délégués à l'armée. ` XVII. — · CHAPITRE III, p. 70. I · Lig. 43 à 45 .: remplacées comme il suit. ' ..... héréditaires y attachées. Elles avaient pour .4 ` objet, par voie de conséquence, de faire sortir les séna, teurs plébéicns de la position secondaire qu’ils occu— D ` ' paient encorc dans la curie, à- titre d'assistants muets (p. 48 ct suiv.), Ceux du moins qui avaient eu les hon- neurs du consulat acquéraieut, on l’a vu, par les lois nouvelles ct à l’égal des consulaircs patriciens, le droit ` ·d’opiner avant les autres sénateurs noblesi De plus, elles retiraient E1 la noblesse leprivilége des dignités (I. *15;. suivez). 4 1 ` _ XVIII. CHAPITRE III, p. 73. . - I Lig. l à ll : passage remanié. ` _ · ·_ sans lui rendre la moindre puissance. ce fut sans _ ` `plus de succès que les princes patriciens du Sénat recou‘- 'rurent à des taquineries de toutes sortes contre les plé- béiens admis à y prendre part aux délibérations ; quoi qu'ils lissent, la règlealla se confirmant, suivant laquelle ·le privilège du premier vote (prerogative) n’appartenant plus aux· anciens hauts magistrats patriciens seulement, ‘ tous les membres ayant exercé l’une des trois grandes magistratures, consulat, p1·éture, édilité curule, étaient désormais appelés à donner leur opinion motivée, suie vant la date deleur sortie de charge, ii quelque ordre 4 d’ailleurs qu’ils appartinssent; tandis que les autres sé- . natenrs, qui n’avaicntpoint passé par les fonctions cu- · rules, ne faisaient que vote1· purement et simplement.