peine quîil·déte11d¤ aûi nord- sa propre frontière contre les barbares. Les Roma-insattacliaient déjàile plus grand intérêt à llabaissement de- la Macédoine et· de- sont allié naturel; le roi de Syrie. l`ls f`aisaient» da’nsSce.but·cause · . ` commune avecî la politique égvptienne. Aussi les- voip Q on; après la paik f`aite·a=vec Carthage, otïrir aussitot.au _ l‘0i~·PÈO]Ã)7i("6 III Energèta le secoursr de leurs armes _ contre·`Sëleucus= II Cdlliizique?. roi de Syrieitil régnai de 507 à 529), avec lequel il est en guerre à cause du meurtre de Bérénice. Vraisemblablement la Macédoine appuyait le Syrien·. 4- Les relations de la Republique avec les États grecs se font d’ailleurs·cbaquejour plus étroites: le Sénat entre aussi. en pourparlers avec la Syrie, et, s'emploie mêmeaupres de Séleucus en faveur des nllicîs du sang du peuple romain, les habitants i · · — «l’Ili0n’. Mais là s’arrêtent les démarches de la Repu-·— blique; elle n’a pas besoin encore, pour Vaccomplisse- _ ment. de ses projets, de s’immiscer plus directementalans L les atiaires de`l’Orient. La .ligue achéenne, arrêtée dans son llorissantessor—par la politique étroite d’Amtuè_et i ` de sa coterieg la républiquedesÉtoliens,ces Izmsquenets de la Grèce. et l’empire macédonien en pleine décadence, s`usent les uns par lesautres, sans qu’il soit besoin que Rome, entrant dans leurs querelles, les pousse aussi vers leur ruinc.‘Et puis, a cette époque. elle évite les conquêtes au delà des mers, bien ’plutôtqu’elle ne les cherche. Les Acarnmziens, sous le prétexte que seuls parmi les Grecs ils n’ont pas pris part à la destruction d’Ilion, viennent-ils un jour demander aux [ils ¢l’Éne’e de’les aider contre les Étoliens, le Sénat se contente d’intervenir diplomatiquement. Les Étoliens, à leur tour, répondent-ils à leur manière, c’est·à—dire par des paroles insolentes, aux paroles des ambassadeurs `de Rome, la ferveur antiquaire de celle-ci ne "va pasjusqu’à les punir par la guerre: ce serait débarrasser- le Macédonien de son en-
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