Page:Mirbeau - L’Abbé Jules, éd. 22, Ollendorff.djvu/250

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Sais-tu encore quelque autre chose, me demanda-t-il.

— Non, mon oncle…

— Eh bien ! mon garçon, va dans le jardin… Tu y trouveras une bêche… Bêche la terre… Quand tu seras fatigué, couche-toi dans l’herbe… Va !

Ce fut ma première leçon.