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naissances devaient guider les manœuvres qui pouvaient m’en faire tirer parti. Le premier moment d’une jouissance, que je sais, à mon gré, rendre impérieuse et brillante, avait étourdi mon adorable. Mais les femmes dévorées d’ambition sont insensibles au plaisir ; la vanité, l’intrigue absorbent toutes leurs facultés. Sans cesse livrée à l’envie, à la haine, les poisons de l’une, les poignards de l’autre, écartent les amours. Je ne devais donc m’attendre qu’à une jouissance froide, inanimée ; je ne pouvais me flatter de la captiver par les sens, mais par ses propos ; je lui reconnus de la suffisance, beaucoup d’estime d’elle-même, une vanité sans bornes, par conséquent une imagination resserrée, point de vue, ou elles étaient courtes, aucun plan fixe… Dès lors le mien fut formé de l’assujettir, de la maîtriser

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