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je fus rendu de fatigue. Le jour paroiſſoit, je lui laiſſai prendre du repos en me retirant. Le ſecret me fut recommandé de la maniere la plus forte, & je l’ai bien gardé.

Les jours ſuivans furent marqués par les mêmes aventures : l’or me dédommageoit, car elle en répandoit à foiſon. Branlinos ſoutenoit mon courage & me faiſoit bander. Au reſte, la comteſſe n’en étoit pas moins dévote, ni moins impertinente, même vis-à-vis de moi.

Mon quartier fini, elle partit pour les eaux de Bareges, en me comblant de préſens ; mais avec cet air qui en ôte tout le mérite, & je revins à Paris.

Rendu dans cette Babylone qui ne renferme plus de corruption qu’ailleurs, que parce qu’il y a plus

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