Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/62

Cette page n’a pas encore été corrigée

Avec un frisson.
Ce soir.
H tombe assis sur )’un des sièges, pr<-sde la tattte.
. t’ai peur!
SCÈNETROISIÈME
HYLAS. puis BRISËIS.
L’orchestre chante, m~)6e aux terreurs mé)at’o)ique!t de la nuit, la
phrase d< la Résurrection par l’Amour.
« Les cafMft qu’embrasa
/’<t!HMr roatCMj’
« Ne s’éteignent pas dans les t<’pM/<MfM;
« Et l’invincible ~t’nt, dieu plus fort que les dieux,
« Peut soulever le mar~’e
et < ompre les c/MfM
« Du t~uttcre
udieux. »
Pendant que les tonlures de la baie du milieu se toutèvent, t’or.
che~tre dit:
< Si l’on couchait la /faMc~e
< Dans la tombeau tfC/tH du jour,
On voit, dan* )a nuit, ou ))at<e une tune ro))){’ apptftttre, long-
vetue do blanc, t<ri~ï!<, tnystcrifu~c et commep)u!t ~t-nn~f’. Un voile
cache son vb~o et pend juttju ses pieds. Ktt’-
approche d’ttytM,
qui ne l’entend ni ne tt vott venir; t’orchettre dit:
< Blanche, elle sortirait <k /a <uM6e ~/ac<f
« Pour sourire n <o« cher relour.
« A/~e aux p~~M« de la lune,
< 7’r«n&/aM<p comme un co~ lui o a<M<</f se BOKr,
Bfb<h est tout proche d’ttytas, elle te penche voM lui, et, p<a.
dant que l’orchestre achève
« Elle /~<)/crot< d’un baiser
« Ta cheuelure trune.
y
Bdtttt d< <)t bouche voilée, MfOturcle front dHykt.