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Pour le salut des pécheurs anxieux.
11est le flot de vie où vient s’abreuver l’âme,
Et son cri sur la croix inf&me
Fut le signal qui fit s’ouvrir tout grands les cieux 1
H aime, il pardonne, il délivre;
A l’homme il dit mon frère, à la femme: ma sœur
Les petits enfants veulent bien le suivre
A cause de sa douceur
Et lui qui mourut pour vous faire vivre,
Assis sur le seuil éclatant
Du Paradis, il vous fait signe et vous attend
BtUSÈtS
Ton Dieu sauvera-t -il mamère?
LE CATÉCHtSTE
Si tu veux,
Elle est guérie.
BXtSÈÏS
ardemment,aux servantes:
Venez en blanche théorie,
Et dénouez selon le rite vos cheveux 1
Cueillez au jardin les roses vermeilles,
Dans les encensoirs allumez le feu,
Dépouillez les treilles
Pour parer l’autel de ce nouveau Dieu
LE CATÉCUISTE
L’offrande qu’il désire, û Vierge, c’est toi-même.
Ta mère Thanastû, que l’Esprit inspira,
T’a vouée au baptême.
Si tu me suis elle vivra.
nHtSRÏS.
Moi1 te suivre