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Ainsi l’oiseau des nuits de ses regards funèbres,
S’applaudit de percer les voiles des ténèbres.
Mais lorsque les oiseaux, dans les bois d’alentour
De l’astre du matin célèbrent le retour,
Lui, caché tristement dans sa retraite obscure
Ne voit point le soleil, et maudit la nature.