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VIII
PENDANT UN MOIS.


Le lendemain des noces, ils se disaient tous deux :

« Ô ma Lénida, que la vie paraît belle au cœur quand on aime et qu’on est aimé !

— Ô mon Similo, qu’un amour partagé prête à l’existence de charmes tout-puissans !

— Que nous serons heureux !

— De quel bonheur ne jouirons-nous pas !

— Tous les jours se lèveront pour nous