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sidue depuis quelque temps, fut à elle, l’arracha brusquement de son siège, et la traînant vers le comte immobile :

— Mademoiselle, c’est vous, sans doute, que monsieur de Villequier destine à remplir la place de la digne et infortunée Françoise de la Marck, c’est sur le bord de sa tombe ouverte que je vous fiance à son assassin. Ayez moins de vertu qu’elle si même fin vous épouvante. Louise de Savonnières, recevez de moi pour époux, et puissiez-vous l’aimer comme il le mérite, le comte René de Villequier, qui vous offre comme encens d’hymen la vapeur du sang de votre rivale. Et Louise de Lorraine joignit les mains des deux fiancés !

FIN.

La publication des Heures du soir vient de révéler au monde littéraire un nouveau genre