Page:Mercœur - Œuvres complètes, II, 1843.djvu/177

Cette page n’a pas encore été corrigée


IX


Dans l’aile la moins habitée du château de Poitiers, on apercevait une lumière, dont la clarté passait immobile à travers les vitraux d’une haute fenêtre : c’était la lueur de la lampe allumée dans la chambre de la comtesse de Villequier.

Françoise devait, à l’invitation de la reine-mère, se rendre ce soir-là dans la grande galerie du château, ou la cour allait se ras-