Page:Mendès - Poésies, t2, 1892.djvu/124

Cette page n’a pas encore été corrigée

Plein du vent qui souffla dans la robe d’Élie.
Et moi je le suivais, penché sur sa folie,
Tout près d’y choir. Ainsi nous sentons le désir
De l’engloutissement stupide nous saisir,
Pour avoir regardé trop longtemps un abîme.
C’en était un, avec des feux, comme une cime.