ne fût-ce que pour éviter l’uniformité, des formes étrangement perverses et équivoques.
D’abord l’existence, à moins qu’il ne s’agisse d’individus et de créatures appartenant à des catégories qu’on ne peut nommer, est remplie d’autres intérêts, pas vertueux peut-être, mais prépondérants dans les cœurs, tels que l’influence, l’ambition, la richesse, etc., sans parler des goûts qui ne sont pas tous de genre amoureux. Les romanciers latins, simplement en regard à ce qui se passe autour d’eux, pourront varier les couleurs de leur palette et rendre la vie dans son ensemble complet, ce qui serait plus conforme à la vérité et moins monotone.
Pour ceux même qui ne veulent pas sortir de l’analyse sentimentale, d’autres champs d’observation s’étendent. Il y a des affections tout aussi puissantes sur le cœur humain que les fugitives amours. Mais le sujet ne peut être développé en ce chapitre, nous y reviendrons dans un autre. J’ai voulu simplement indiquer