Page:Maurois - Ni ange, ni bête, 1919.djvu/117

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


DEUXIÈME PARTIE




Je vous en conjure, soyez bons pour la vie et ne l’assommez point à coups d’à priori C’est une pauvre femme, vieille et sale, qu’il faut traiter avec sympathie : elle y répond. Quand tout est bien fini, la seule maxime qui demeure est celle de l’héroïne de Strindberg : « La race des hommes est grandement à plaindre. »

Rupert Brooke (Lettres).