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un homme debout, avec des cheveux qui lui tombaient aux épaules, une barbe qui lui tombait sur la poitrine, des yeux brillants et des lambeaux d’étoffe sur le corps.

Ils ne le reconnaissaient point, mais Louise Hauser s’écria : « C’est Ulrich, maman. » Et la mère constata que c’était Ulrich, bien que ses cheveux fussent blancs.

Il les laissa venir ; il se laissa toucher ; mais il ne répondit point aux questions qu’on lui posa ; et il fallut le conduire à Loëche où les médecins constatèrent qu’il était fou.

Et personne ne sut jamais ce qu’était devenu son compagnon.

La petite Hauser faillit mourir, cet été-là, d’une maladie de langueur qu’on attribua au froid de la montagne.