Page:Maupassant - Des vers, 1880.djvu/114

Cette page n’a pas encore été corrigée

100 LA DERNIÈRE ESCAPADE. En songeant que, jadis, les tailles enlacées, Les yeux parlant au fond des yeux, les doigts unis, Muets, le sein troublé de fièvres inconnues, Ils avaient parcouru ces mêmes avenues!