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moiron
Je lui demandai :
– Vous n’avez plus rien à dire ?
– Non, monsieur.
— Alors, adieu.
– Adieu, Monsieur, un jour ou l’autre…
Je me tournai vers le prêtre, livide et dressant contre le mur sa haute silhouette sombre :
– Vous restez, monsieur l’abbé ?
– Je reste.
Alors le moribond ricana :
– Oui, oui, il envoie ses corbeaux sur les cadavres.
Moi, j’en avais assez ; j’ouvris la porte et je me sauvai.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/17/Maupassant_-_Clair_de_lune%2C_Ollendorff%2C_1905_page_0268.jpg/200px-Maupassant_-_Clair_de_lune%2C_Ollendorff%2C_1905_page_0268.jpg)