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1894 et dont la traduction in-extenso en langue anglaise se poursuit actuellement à Madras. Sept volumes ont déjà paru : le septième s’arrête au 30 avril 1751. À côté de faits sans importance ou d’un intérêt très local et très particulier, ce volumineux ouvrage nous donne souvent sur Dupleix et sur sa femme des impressions qui ne les grandissent pas toujours ; tous deux nous apparaissent avec leurs sentiments naturels et l’on sait qu’au naturel l’homme ne se montre guère qu’avec des imperfections ;

3) Dupleix et la défense de Pondichéry, ouvrage de 450 pages paru en 1908. L’auteur de ce travail, le marquis de Nazelles, était un descendant de Bacquencourt, frère de Dupleix ;

4) Dupleix et Clive, par M. Dodwell, ancien conservateur des Archives de Madras. Ouvrage de 278 pages, publié à Londres en 1921 ;

5) La Bourdonnais, monographie de 482 pages, publiée en 1922 par Pierre Crepin ;

6) Divers ouvrages sur Dupleix, dont le seul important pour l’époque qui nous occupe est celui de M. Guénin. Celui de Cultru est de peu d’intérêt pour cette période et il vaut autant ne pas parler des autres (de Bionne. Tibulle Hamont, Castonnet des Fosses, etc.) ;

7) Enfin les documents publiés par nous-mêmes à Pondichéry et qui sont extraits des archives publiques de cette ville :

Correspondance du Conseil supérieur et de la Compagnie, T. II et III, années 1736 à 1738, et 1739 à 1742.

Correspondance du Conseil supérieur et du Conseil de Chandernagor, T. II et III, années 1738 à 1747 et 1747-1757.

Résumé des actes de l’État civil de Pondichéry. T. II. Années 1736 à 1760.

Les autres ouvrages très peu nombreux ou très peu importants, non cités ici, seront indiqués en notes au bas des pages, au fur et à mesure de leur utilisation éventuelle.

Les manuscrits les plus importants que nous ayons consultés se trouvent dans les dépôts suivants :