madame ? Allons, allons, levez la tête, et rendez-nous compte de la sottise que vous venez de faire.
Par la jarni ! qu’elle est jolie !
Laisse-le là ; je crois qu’il est imbécile.
Et moi je crois que c’est malice. Parleras-tu ?
C’est que mon maître a fait vœu de fuir les femmes, parce qu’elles ne valent rien.
Impertinent !
Ce n’est pas votre faute, c’est la nature qui vous a bâties comme cela ; et moi, j’ai fait vœu aussi. Nous avons souffert comme des misérables à cause de votre bel esprit, de vos jolis charmes, et de votre tendre cœur.
Hélas ! quelle lamentable histoire ! Et comment te tireras-tu d’affaire avec moi ? Je suis une espiègle, et j’ai envie de te rendre un peu misérable de ma façon.
Prrr ! il n’y a pas pied.
Là, mon ami ; va dire à ton maître que je me