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LAI DE L’ESPINE.

Les Bretons ont fait un Lai de l’aventure que je viens de raconter. Ils n’ont pas regardé s’il falloit l’appeler le Lai du Gué, parce que l’action s’y passe, ni même des deux jeunes gens qui y jouent un si grand rôle. Ils l’ont simplement nommé le Lai de l’Épine qui commence fort bien et finit mieux encore.

fin du tome premier