Page:Marie de France - Poésies, éd. Roquefort, I, 1820.djvu/267

Cette page a été validée par deux contributeurs.
251
LAI DE LANVAL.

Les Bretons rapportent que la fée emmena son amant dans l’île d’Avalon[1] où ils vécurent long-temps fort heureux. On n’en a point entendu parler depuis, et quant à moi, je n’en ai pas appris davantage.

  1. Voy. notice sur les Lais, p. 37 : note 1.