est ordinairement de cent vingt chevaux, en les faisant travailler deux fois par jour, cela nécessiterait l’emploi de vingt instructeurs par régiment, au lieu d’un seul qu’il y a habituellement. Dans d’autres passages, il reconnaît l’intelligence du cheval, mais il ne donne aucun moyen pour la développer ou la combattre, selon les bonnes ou mauvaises dispositions de l’animal : les moyens physiques sont seuls employés. Il est fâcheux qu’en recommandant toujours la douceur, il soit constamment par ses principes en contradiction avec lui-même, car l’emploi répété qu’il recommande de l’éperon et de la force dans la main et les jambes, sont des moyens qui font souffrir le cheval et l’irritent au suprême degré. « Il devra être fait un usage modéré du reculer ; » ce mouvement ne devrait être exécuté que rare>> ment par le cheval de guerre. » lel Le mouvement du reculer est un des mouvements les plus importants pour le dressage du cheval de guerre ; il assouplit les hanches et les jarrets. Il est donc indispensable de le faire exécuter très-souvent pour arriver à l’assouplir, à l’asseoir et à le rendre gracieux ; et pour qu’il puisse exécuter ce mouvement facilement dans un travail d’ensemble, tel que les manœuvres militaires, il faut qu’il lui soit très-facile. Cette opinion explique parfaitement le motif pour lequel les chevaux, dressés d’après cette méthode,
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INTRODUCTION.
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