Page:Marguerite de Navarre - L’Heptaméron, éd. Lincy & Montaiglon, tome II.djvu/222

Cette page a été validée par deux contributeurs.
208
IIJe JOURNÉE

fin importable d’estre couvert, si est ce, mes Dames, que bien souvent ceux qui, pour obéir à son conseil, s’advancent trop de le descouvrir, s’en trouvent mauvais marchans, comme il advint à ung Gentil homme de Castille, duquel vous orrez l’histoire :