vures, etc., par F. Chévremont, le bibliographe de Marat[1].
Dans cet ouvrage, curieux par la quantité des renseignements bibliographiques qui y sont contenus, on lit[2] : Éloge de Montesquieu — Manuscrit de près de 100 pages, daté du 19 mars 1785, adressé à une Académie qui avait mis ce sujet au concours ; il était accompagné d’une lettre d’envoi portant cette devise : Pour peindre un Alexandre, il faudroit un Apelles.
Dans un autre de ses ouvrages[3], où il analyse l’Esprit politique de Marat, le bibliographe nous donne des renseignements plus détaillés : « L’Éloge de Montesquieu, par Marat, est un manuscrit de 100 pages, tout entier écrit de la main de Marat. Il est daté du 19 mars 1785, et était accompagné d’une lettre portant cette devise : Pour peindre un Alexandre, il faudroit un Apelles. La lettre était fermée par un cachet de cire rouge, représentant une tête de Sapho.
- ↑ Paris, chez l’auteur, 1876. M. Ch. en a fait don à la bibliothèque de Bordeaux.
- ↑ Page 33.
- ↑ Jean-Paul Marat, orné de son portrait. — Esprit politique, accompagné de sa vie scientifique, politique et privée, par F. Chévremont, le bibliographe de Marat. — Paris, chez l’auteur. 1880. 2 vol. in-8o. V. p. 102, note i. — Don de l’auteur à la Bibliothèque de Bordeaux.