Page:Manzi - Livre de l'Atlantide.djvu/46

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

un mot, l’hébreu primitif, qui était l’idiome sacré des Égyptiens, est une langue atlante, qui a été la mère, dans l’ancien continent, du grec (mélange d’hébreu et de celte) et du zeud (mélange d’hébreu et de pâli) ; et dans le nouveau, du maya et du chiapanec. On a été frappé aussi de la parenté existant entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Tous les deux sont à base phonétique et de nombreux signes concordent. Nous dirons pour expliquer cette parenté ce que nous avons dit pour faire comprendre celle qui unit le grec au maya. Le phénicien est un produit de l’Égypte. Son alphabet est né dans les temples Égyptiens, car l’Égypte a été la matrice où ont été enfantées les civilisations grecques phéniciennes, chaldéennes, indoues.

L’Égypte possédait quatre sortes d’écritures :

1° L’écriture épistolographique ; 2° l’écriture hiéroglyphique ; 3° l’écriture hiératique ; 4° l’écriture symbolique.

Le phénicien est un dérivé de l’écriture épistolographique égyptienne, qui était alphabétique, et les Égyptiens tenaient eux-mêmes cette écriture des Atlantes. Quant aux Mayas, ils tenaient leur alphabet, disaient-ils, des Colhnas, race qui s’était éteinte 1.000 ans avant J. C. Et ces Colhnas prétendaient venir du pays d’Atlan. Donc, là encore, l’Atlantide peut seule expliquer la parenté entre