Page:Mallarmé - Les Poésies, 1899.djvu/140

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Le pur vase d’aucun breuvage
Que l’inexhaustible veuvage
Agonise mais ne consent,

Naïf baiser des plus funèbres !
A rien expirer annonçant
Une rose dans les ténèbres.