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IO0 COMMENTAIRE DUN IPUBLICA/N petsone n’est ocent. Sois e16men, 5 Justin, pulse es m&le. Si tu observes les iqis, q ufiendra Wn g? emets-nous nos dt ome nous remStons &s de nos ddbiteurz, pon nous me nous ponons. Ne nous soume p aus tpuves; le fo s’i rempe, ms le faible i su, et de nous est sr d’en sor virieus Les s ont dtse

cause en la voyt vcue; les auks, apes 

avoir conqis leur it, ont refu de n le it de leto frs. L’advei aisse et it les cu, le ne les dessche et les feme la pitii. pae-nous les tpuves auessus de nos foes, ne nous induiz pas en tentaeOn, ma ddli- vre-nouz du mal, de cel qi nous vient des autos et de lui qi est en noumme. Qe ta pens jou pn nous lve et nous pure, qe nous soyons sts come tu es sa, Justice, po t dies de mcher sous ton drapeau, et si nous devons motif ss avoir vu ta vietoil, qe no ayons du mos la joie supreme d’avoir av i ton uv et combatu po toi. -- C’est fo bien, ms q’est-ce qe vous concluez de tout cela ? --J’en conclus, monsie l’a, q’au lieu de dster les publicains, vous devriez recon qe vous tiez d’acord avec eus, ss vous en doubt. -- Eh bien, en andant qe vo ayez ussi rconcilier’l'lise et la Hpliqe, convenez qe celui qi, de vot avcu, a ensei la vrale forage de la prire, mritait bien le cte qe lui nd la- ni dcpuis &t cents s. -- I1 faut qe vous conveniez d’ord qe ceus qi vem aujod la voie q’H a trac, non pas en