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étant, comme on l’a déjà dit, l’angle horaire moyen, ou désignant les différences des temps des observations à cet angle horaire, enfin exprimant le nombre les répétitions. On a donc, par ce qui précède,

de là

Les limites étroites entre lesquelles sont renfermés d’autres résultats partiels que M. Corabœuf fera connaître plus tard, prouvent que les observations de ce genre sont, comme celles de latitude, susceptibles de beaucoup de précision lorsque les circonstances atmosphériques sont favorables et qu’on a soin de caler toujours de la même manière le niveau de l’axe de rotation de la lunette mobile. En effet la condition qu’il faille remplír essentiellement avec le théodolite doublement répétiteur de Gambey, est que l’axe optique dirigé sur l’étoile, dans les observations paires, prenne, par