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ni rancunes, mais le souvenir de bons offices et de serviables intentions.

Vous avez vécu, cher Confrère, au milieu d’hommes doués d’un cœur affectueux, animés de sympathie, indulgents les uns pour les autres. Vous ne laissez parmi nous qu’estime et que regrets. C’est au nom de tous vos amis de l’Académie que je vous adresse notre dernier hommage et nos adieux.