Page:Mélanges d’indianisme.djvu/343

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
331
UN BILINGUE SOGDIEN-CHINOIS

traire, l’existence de l’un d’eux en une rédaction sogdienne nous amène à nous demander si ces « sûtras apocryphes » ne représentent pas en partie une littérature bouddhique qui, sans originaux hindous, se serait spontanément développée dans les premiers siècles de notre ère chez les bouddhistes de l’Asie Centrale.

P. Pelliot.