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passages, très délicatement dits, soulèvent des bravos, et lorsqu’il a fini, pendant que dans l’assistance éclatent les applaudissements, M. Pol Neveux reçoit les félicitations de tous ceux qui sont auprès de lui[1].
La cérémonie est terminée. Aux sons d’une Marche solennelle, d’une heureuse inspiration, composée pour la circonstance par M. Ch. Lenepveu, la foule s’écoule à travers les allées, et après un dernier salut au monument que l’on vient d’inaugurer, quitte le jardin Solférino, emportant le souvenir, qu’elle gardera précieusement, de cette cérémonie si bien organisée, et de tous points si bien réussie.
- ↑ Qu’il me soit permis de remercier ici le fidèle ami de Maupassant de l’aimable communication, qu’il a bien voulu me faire en 1903, du texte complet de son discours : Discours prononcé à Rouen, le 21 mai 1900, par M. Pol Neveux, délégué du Ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts, à l’inauguration du monument de Guy de Maupassant (Paris, Imprimerie Nationale, mdcccc, brochure de 12 pages, dont 9 numérotées). [A. L.].
