I
SUR L’OREILLER
« Ma chérie, viens chier.
— Pas sur le lit.
— Si, sur le lit, sur mon oreiller. J’aime tant la merde !
Je veux y poser ma joue, je veux dormir dedans…
— Je chierai mou, je te préviens…
— Tant mieux, j’en mettrai plein mes cheveux.
— Je suis placée, comme ça ?
— Penche davantage le corps, pour que je te voie faire. Ah ! l’amour de trou du cul.
— Lèche-le un peu…
— Tiens… tiens… Chie, maintenant…
— Madame est servie.
— Dieu ! y en a-t-il ! De quoi peindre tout le lit en brun, si on voulait…
— Ça me fait jouir quand je chie, tu ne le croirais pas !
— Viens voir un peu ce que tu as fait.
— Manges-en un peu, pour voir si tu m’aimes…
— Tiens, si je t’aime ! regarde, j’en ai plein la bouche.
— Mets-en dans tes cheveux, comme tu avais dit.
— Je m’y frotte, je m’y roule. J’en mets sous mes bras…
— Ah ! comme tu pues, maintenant ! Comme je t’adore ! »