VII
L’ÉDUCATION DE NÉNETTE
« Retiens-toi, Lucien ! Jouis pas ! que je montre à ma petite sœur. Viens ici, Nénette ; comment que ça s’appelle quand la fille est à quatre pattes et qu’on l’enfile dans le chat derrière.
— Ça s’appelle baiser en levrette.
— Et pourquoi que c’est bon ? Dis bien, mon trésor.
— Parce que la queue va plus profond.
— Tire un peu ta pine, Lucien, que j’y fasse voir par où ça rentre.
— Oh ! je vois bien.
— Et si qu’il me la fourrait plus haut ? comment que ça s’appellerait ? dis bien.
— Tiens ! il t’enculerait.
— Ah ! la garce de Nénette ! elle est pucelle par les deux trous et elle en sait plus que moi à son âge. Tâte-nous, saleté, prends-moi les babines du con, regarde comme il me le fait bien, je mouille déjà comme une éponge.
— Veux-tu que je te branle ? que j’y pelote les couillons ?
— Oui ! oui ! je sens qu’il va jouir ! Branle-moi ! Ah ! cochonne d’enfant ! Tiens ! tiens ! pour vous deux ! Et lui qui me pisse au fond ! Ah ! merde ! que c’est chouette ! »