XI
PAROLES À LA SUCEUSE
« Princesse, pendant que vous avez ma pine dans la bouche, je veux vous dire vos vérités. J’ai baisé plus de douze cents femmes, c’est-à-dire que vous me sucez en ce moment les restes de douze cents cons plus ou moins prostitués, gluants et vérolés.
— Vous ne réussirez pas à me dégoûter. Je vous suce.
— Ne le répétez pas ; mais j’aime les bonnes.
— Moi aussi.
— Je ne peux pas voir la cuisinière sans relever son tablier, ses jupes, sa chemise sale, pour lui fourrer ma pine dans le con.
— Et moi la langue.
— Quand je dis dans le con, c’est une façon de parler. Ces filles sont d’une telle docilité… J’ai en ce moment à mon service une petite Bretonne de seize ans qui se laisse enculer comme une chèvre.
— Ne vous vantez pas. Elles le font toutes.
— Vous me sucez délicieusement, mais vous n’avez pas la bouche aussi étroite que le trou de son cul.
— Voulez-vous le mien ?
— Et le matin, quand elle me le présente avant de chier…
— Vous croyez me répugner, vous m’excitez, mon cher. Dites encore un mot et je décharge. »